Cliché
et légende d'Yves Troadec : Tahure - Boyau Mangenot. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"On travaille pour
se retrancher solidement"
9 avril 1915. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Champagne - Tranchée Sidi-Brahim.
février 1917. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"Tranchées, temps superbe"
20 avril 1915. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Epuisés les poilus dorment dans
la tranchée. |
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Cliché
et légende d'Yves Troadec : La montée en ligne dans un boyau
rempli de boue. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
« Départ pour les tranchées il fait un temps de chien les tranchées
sont plein de boue. » 9 décembre 1915. "Toujours de la boue on patauge
dans une boue liquide nos souliers sont mous comme
de la laine et pleins d'eau."
8 juin 1916. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Kemmel - Belgique. Nos abris.
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"Les éclats tombent sur ma cabane"
2 novembre 1915. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Somme. Eclatement d'un schrapnell
au dessus de notre tranchée. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"Les boches envoyent
des dizaine d'obus."
2 novembre 1915.
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Cliché
et légende d'Yves Troadec : Verdun - Bois des Causes. Corvée
d'eau. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"On pompe toujours."
1er janvier 1916. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Verdun - Un agent de liaison
qui préfére emprunter la tranchée pleine de boue et prendre un bain
de pieds plutôt que que de se faire démolir le portrait sur la plaine.
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"Je vais aux tranchées.On y est très mal.[...] Il tombe de l'eau
tous les jours."
9 janvier 1915. |
Cliché
et légende d'Yves Troadec : Tranchée de trèves. Cadavres
allemands. |
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Cliché
et légende d'Yves Troadec : Le Godat près Reims Thibaut
2e Cie (tué le 31 oct. 18) redoute Puella 12 février
1917. |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
"Je pars en permission à 2 h du matin […] Pays bien triste.
Je m'ennuie en perme"
14 avril 1916 |
Cliché
d'Yves Troadec : |
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Carnet
de guerre de Gaston Certain :
" A l'entrée du notre [abris] il y a un thermomètre apporté
par un copain. On écoute le ronflement des obus qui arrivent. C'est
des grosses qui éclatent tout près avec un bruit de tonnerre. [illisible]
tout à coup une odeur d'éther nous prend à la gorge. L'un de nous
dit : c'est les gaz asphixiants et le voilà parti en courant prévenir
l'officier. Celui-ci arrive et l'on constate que c'était le fameux
thermomètre qui était cassé. C'était l'alcool qui nous avait joué
ce bon tour qui nous a fait rire pendant quelque temps. [s. d.]
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Cliché
et légende d'Yves Troadec : En Champagne, halte après
l'attaque pendant que notre artillerie bombarde les positions ennemies. |
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